LE BEAU SUCCÈS DE FLORIXIR

Trois ans après ses débuts, l’entreprise Florixir, basée à Gamaches, a ouvert un magasin de produits (tisanes, huiles essentielles…) 100 % bio et cultivés maison.
À la sortie Gamaches, au rond-point menant à Bouttencourt, le logo Florixir se dé- ploie fièrement. Il y a trois ans que Thomas Lecureux a fondé son entreprise. Son magasin, qui lui sert aussi de laboratoire, n’a ouvert qu’il y a six mois. Après un master en production végétale et industrie alimentaire à Amiens, des stages à l’étranger, puis un poste de responsable des compléments alimentaires dans une entreprise internationale dans le sud de la France, il est revenu sur ses terres natales pour développer son entreprise. 
UNE TRENTAINE DE PLANTES 
La culture des plantes est réalisée avec une grande exigence. Elles ne sont récoltées qu’au moment optimum : « Sinon la qualité ne serait pas au rendez-vous. Même si c’est compliqué, nous arrivons à faire pousser des plantes du sud comme la lavande ». Thomas Lecureux s’est d’abord lancé dans une production de plantes sur 5 000 m2. C’est aujourd’hui sur deux hectares que se développent une trentaine de plantes différentes : menthe, mélisse, camomille, verveine, thym... Séchées, elles deviennent des tisanes, des aromates et d’autres produits annexes. Une partie est distillée pour donner naissance à des hydrolats (eaux florales et lotions). Les huiles essentielles (menthe poivrée, lavandin, lavande, romarin, thym, sarriette, sauge sclarée…) font aussi la renommée de Florixir. 
JUSQU’AUX ASSIETTES 
Les produits Florixir se retrouvent également dans les assiettes d’une trentaine de restaurateurs. « Au début, ils étaient un peu sceptiques. Ils pensaient que les plantes sèches n’avaient pas de goût. Une fois qu’ils ont goûté à nos produits, ils ont adhéré. » Le magasin a su fidéliser sa clientèle : « Beaucoup reviennent avant que les pots soient vides. Les nouveaux viennent chez nous par le bouche-à- oreille », remarque le gérant. Les autres clients sont des épiceries fines et des boutiques bio des quatre coins des Hauts-de-France. Pour les particuliers, le magasin est ouvert le mercredi, vendredi, samedi et dimanche de 9h30 à 18h30. Ils peuvent notamment se servir librement en plantes en vrac. L’entreprise cherche à présent à se développer. Elle recherche des commerciaux dans tout le pays. Un site Internet lui permet également de multiplier les ventes.
Trois ans après ses débuts, l’entreprise Florixir, basée à Gamaches, a ouvert un magasin de produits (tisanes, huiles essentielles…) 100 % bio et cultivés maison. À la sortie Gamaches, au rond-point menant à Bouttencourt, le logo Florixir se dé- ploie fièrement. Il y a trois ans que Thomas Lecureux a fondé son entreprise. Son magasin, qui lui sert aussi de laboratoire, n’a ouvert qu’il y a six mois. Après un master en production végétale et industrie alimentaire à Amiens, des stages à l’étranger, puis un poste de responsable des compléments alimentaires dans une entreprise internationale dans le sud de la France, il est revenu sur ses terres natales pour développer son entreprise. UNE TRENTAINE DE PLANTES La culture des plantes est réalisée avec une grande exigence. Elles ne sont récoltées qu’au moment optimum : « Sinon la qualité ne serait pas au rendez-vous. Même si c’est compliqué, nous arrivons à faire pousser des plantes du sud comme la lavande ». Thomas Lecureux s’est d’abord lancé dans une production de plantes sur 5 000 m2. C’est aujourd’hui sur deux hectares que se développent une trentaine de plantes différentes : menthe, mélisse, camomille, verveine, thym... Séchées, elles deviennent des tisanes, des aromates et d’autres produits annexes. Une partie est distillée pour donner naissance à des hydrolats (eaux florales et lotions). Les huiles essentielles (menthe poivrée, lavandin, lavande, romarin, thym, sarriette, sauge sclarée…) font aussi la renommée de Florixir. JUSQU’AUX ASSIETTES Les produits Florixir se retrouvent également dans les assiettes d’une trentaine de restaurateurs. « Au début, ils étaient un peu sceptiques. Ils pensaient que les plantes sèches n’avaient pas de goût. Une fois qu’ils ont goûté à nos produits, ils ont adhéré. » Le magasin a su fidéliser sa clientèle : « Beaucoup reviennent avant que les pots soient vides. Les nouveaux viennent chez nous par le bouche-à- oreille », remarque le gérant. Les autres clients sont des épiceries fines et des boutiques bio des quatre coins des Hauts-de-France. Pour les particuliers, le magasin est ouvert le mercredi, vendredi, samedi et dimanche de 9h30 à 18h30. Ils peuvent notamment se servir librement en plantes en vrac. L’entreprise cherche à présent à se développer. Elle recherche des commerciaux dans tout le pays. Un site Internet lui permet également de multiplier les ventes.

Trois ans après ses débuts, l’entreprise Florixir, basée à Gamaches, a ouvert un magasin de produits (tisanes, huiles essentielles…) 100 % bio et cultivés maison.

À la sortie Gamaches, au rond-point menant à Bouttencourt, le logo Florixir se dé- ploie fièrement. Il y a trois ans que Thomas Lecureux a fondé son entreprise. Son magasin, qui lui sert aussi de laboratoire, n’a ouvert qu’il y a six mois. Après un master en production végétale et industrie alimentaire à Amiens, des stages à l’étranger, puis un poste de responsable des compléments alimentaires dans une entreprise internationale dans le sud de la France, il est revenu sur ses terres natales pour développer son entreprise.

UNE TRENTAINE DE PLANTES

La culture des plantes est réalisée avec une grande exigence. Elles ne sont récoltées qu’au moment optimum : « Sinon la qualité ne serait pas au rendez-vous. Même si c’est compliqué, nous arrivons à faire pousser des plantes du sud comme la lavande ». Thomas Lecureux s’est d’abord lancé dans une production de plantes sur 5 000 m2. C’est aujourd’hui sur deux hectares que se développent une trentaine de plantes différentes : menthe, mélisse, camomille, verveine, thym… Séchées, elles deviennent des tisanes, des aromates et d’autres produits annexes. Une partie est distillée pour donner naissance à des hydrolats (eaux florales et lotions). Les huiles essentielles (menthe poivrée, lavandin, lavande, romarin, thym, sarriette, sauge sclarée…) font aussi la renommée de Florixir.

JUSQU’AUX ASSIETTES

Les produits Florixir se retrouvent également dans les assiettes d’une trentaine de restaurateurs. « Au début, ils étaient un peu sceptiques. Ils pensaient que les plantes sèches n’avaient pas de goût. Une fois qu’ils ont goûté à nos produits, ils ont adhéré. » Le magasin a su fidéliser sa clientèle : « Beaucoup reviennent avant que les pots soient vides. Les nouveaux viennent chez nous par le bouche-à- oreille », remarque le gérant. Les autres clients sont des épiceries fines et des boutiques bio des quatre coins des Hauts-de-France. Pour les particuliers, le magasin est ouvert le mercredi, vendredi, samedi et dimanche de 9h30 à 18h30. Ils peuvent notamment se servir librement en plantes en vrac. L’entreprise cherche à présent à se développer. Elle recherche des commerciaux dans tout le pays. Un site Internet lui permet également de multiplier les ventes.