Le gaz vert plébiscité par les habitants des Hauts-de-France selon une étude GRDF

GRDF a mené - à l’occasion de la Journée mondiale de l’énergie qui s'est tenue le 22 octobre - une vaste étude dans les Hauts-de-France, sur le thème des usages et perceptions du gaz naturel et du gaz vert, afin de mettre en exergue les attentes des citoyens. Verdict : quatre habitants sur cinq (79%) plébiscitent le gaz vert et se disent prêts à en consommer.

La région est fortement consommatrice de gaz, avec un réseau de distribution très dense (24 800 kilomètres) et près de la moitié des communes raccordées. Malgré son prix, 77% des habitants en ont une image « positive », le gaz demeurant malgré tout une énergie compétitive pour 60% des personnes interrogées, qui le juge également propre (à 73%) et participant pour 87% des sondés au bien-être et confort du foyer. Un foyer sur deux des Hauts-de-France utilise aujourd’hui le gaz naturel pour se chauffer, contre 35 à 40% à l’échelle nationale. Une bonne image du biométhane  Dans la région, 63% des personnes interrogées ont déjà entendu parler de biométhane, notamment les Axonais (72%) et les Isariens (71%). Mais seuls 49% savent qu’il est produit localement, 53% sont au courant qu’il génère de l’emploi dans les Hauts-de-France, 41% que le gaz vert permet de réduire l’utilisation d’engrais chimiques grâce au digestat – un fertilisant naturel issu du processus de méthanisation – et 37% que le biométhane peut être injecté dans le réseau de distribution de gaz.  67% des habitants estiment par ailleurs qu’il est facile de souscrire à une offre de ce gaz vert. Mais seuls 29% savent qu’ils peuvent opter pour cette énergie sans changer d’équipement. 88% des habitants en ont une image positive, et 78% pensent qu’il représente une énergie d’avenir.  Une bonne nouvelle pour la Région « qui affiche une ambition forte en matière de transition énergétique et souhaite notamment devenir région leader en Europe du gaz renouvelable injecté ». Objectif partagé par GRDF, qui œuvre entre autres au sein du Collectif opérationnel régional du biométhane injecté (Corbi, qui rassemble les structures contribuant à l’émergence et à l’accompagnement des projets d’unité de production de biométhane dans la région) pour « faire du gaz vert et de sa version carburant durable (BioGNV) une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense, outil structurant de l’aménagement du territoire ». Objectif de GRDF : faire du gaz vert et de sa version carburant durable une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense. (c)AdobeStock  La région compte à ce jour 48 unités biométhane, à 90% agricoles, 18 stations publiques gaz naturel véhicules et plus de 1 300 bus, bennes à ordures et camions roulant au gaz. Une filière qui génère également de nouveaux besoins en compétences pour l’exploitation et l’entretien des unités de méthanisation, en créant en moyenne huit emplois directs et indirects par unité.  « Les résultats de cette étude démontrent qu’il y a un attachement réel à l’énergie gaz en région Hauts-de-France. Ils révèlent également qu’il existe de vraies attentes des consommateurs en matière de transition énergétique, qu’ils ont conscience des enjeux environnementaux actuels et qu’ils sont prêts à y prendre part. (…) Le gaz est et restera une énergie compétitive et d’avenir, incontournable dans le mix énergétique. Le développement des gaz verts permettra d’atteindre l’objectif français de neutralité carbone avec l’utilisation de 100% de gaz renouvelable à horizon 2050 », a commenté Didier Cousin, directeur territorial Hauts-de-France GRDF.
La région est fortement consommatrice de gaz, avec un réseau de distribution très dense (24 800 kilomètres) et près de la moitié des communes raccordées. Malgré son prix, 77% des habitants en ont une image « positive », le gaz demeurant malgré tout une énergie compétitive pour 60% des personnes interrogées, qui le juge également propre (à 73%) et participant pour 87% des sondés au bien-être et confort du foyer. Un foyer sur deux des Hauts-de-France utilise aujourd’hui le gaz naturel pour se chauffer, contre 35 à 40% à l’échelle nationale. Une bonne image du biométhane Dans la région, 63% des personnes interrogées ont déjà entendu parler de biométhane, notamment les Axonais (72%) et les Isariens (71%). Mais seuls 49% savent qu’il est produit localement, 53% sont au courant qu’il génère de l’emploi dans les Hauts-de-France, 41% que le gaz vert permet de réduire l’utilisation d’engrais chimiques grâce au digestat – un fertilisant naturel issu du processus de méthanisation – et 37% que le biométhane peut être injecté dans le réseau de distribution de gaz. 67% des habitants estiment par ailleurs qu’il est facile de souscrire à une offre de ce gaz vert. Mais seuls 29% savent qu’ils peuvent opter pour cette énergie sans changer d’équipement. 88% des habitants en ont une image positive, et 78% pensent qu’il représente une énergie d’avenir. Une bonne nouvelle pour la Région « qui affiche une ambition forte en matière de transition énergétique et souhaite notamment devenir région leader en Europe du gaz renouvelable injecté ». Objectif partagé par GRDF, qui œuvre entre autres au sein du Collectif opérationnel régional du biométhane injecté (Corbi, qui rassemble les structures contribuant à l’émergence et à l’accompagnement des projets d’unité de production de biométhane dans la région) pour « faire du gaz vert et de sa version carburant durable (BioGNV) une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense, outil structurant de l’aménagement du territoire ». Objectif de GRDF : faire du gaz vert et de sa version carburant durable une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense. (c)AdobeStock La région compte à ce jour 48 unités biométhane, à 90% agricoles, 18 stations publiques gaz naturel véhicules et plus de 1 300 bus, bennes à ordures et camions roulant au gaz. Une filière qui génère également de nouveaux besoins en compétences pour l’exploitation et l’entretien des unités de méthanisation, en créant en moyenne huit emplois directs et indirects par unité. « Les résultats de cette étude démontrent qu’il y a un attachement réel à l’énergie gaz en région Hauts-de-France. Ils révèlent également qu’il existe de vraies attentes des consommateurs en matière de transition énergétique, qu’ils ont conscience des enjeux environnementaux actuels et qu’ils sont prêts à y prendre part. (…) Le gaz est et restera une énergie compétitive et d’avenir, incontournable dans le mix énergétique. Le développement des gaz verts permettra d’atteindre l’objectif français de neutralité carbone avec l’utilisation de 100% de gaz renouvelable à horizon 2050 », a commenté Didier Cousin, directeur territorial Hauts-de-France GRDF.

La région est fortement consommatrice de gaz, avec un réseau de distribution très dense (24 800 kilomètres) et près de la moitié des communes raccordées. Malgré son prix, 77% des habitants en ont une image « positive », le gaz demeurant malgré tout une énergie compétitive pour 60% des personnes interrogées, qui le juge également propre (à 73%) et participant pour 87% des sondés au bien-être et confort du foyer. Un foyer sur deux des Hauts-de-France utilise aujourd’hui le gaz naturel pour se chauffer, contre 35 à 40% à l’échelle nationale.

Une bonne image du biométhane

Dans la région, 63% des personnes interrogées ont déjà entendu parler de biométhane, notamment les Axonais (72%) et les Isariens (71%). Mais seuls 49% savent qu’il est produit localement, 53% sont au courant qu’il génère de l’emploi dans les Hauts-de-France, 41% que le gaz vert permet de réduire l’utilisation d’engrais chimiques grâce au digestat – un fertilisant naturel issu du processus de méthanisation – et 37% que le biométhane peut être injecté dans le réseau de distribution de gaz.

67% des habitants estiment par ailleurs qu’il est facile de souscrire à une offre de ce gaz vert. Mais seuls 29% savent qu’ils peuvent opter pour cette énergie sans changer d’équipement. 88% des habitants en ont une image positive, et 78% pensent qu’il représente une énergie d’avenir.

Une bonne nouvelle pour la Région « qui affiche une ambition forte en matière de transition énergétique et souhaite notamment devenir région leader en Europe du gaz renouvelable injecté ». Objectif partagé par GRDF, qui œuvre entre autres au sein du Collectif opérationnel régional du biométhane injecté (Corbi, qui rassemble les structures contribuant à l’émergence et à l’accompagnement des projets d’unité de production de biométhane dans la région) pour « faire du gaz vert et de sa version carburant durable (BioGNV) une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense, outil structurant de l’aménagement du territoire ».

Objectif de GRDF : faire du gaz vert et de sa version carburant durable une ressource locale distribuée grâce à un réseau dense. (c)AdobeStock

La région compte à ce jour 48 unités biométhane, à 90% agricoles, 18 stations publiques gaz naturel véhicules et plus de 1 300 bus, bennes à ordures et camions roulant au gaz. Une filière qui génère également de nouveaux besoins en compétences pour l’exploitation et l’entretien des unités de méthanisation, en créant en moyenne huit emplois directs et indirects par unité.

« Les résultats de cette étude démontrent qu’il y a un attachement réel à l’énergie gaz en région Hauts-de-France. Ils révèlent également qu’il existe de vraies attentes des consommateurs en matière de transition énergétique, qu’ils ont conscience des enjeux environnementaux actuels et qu’ils sont prêts à y prendre part. (…) Le gaz est et restera une énergie compétitive et d’avenir, incontournable dans le mix énergétique. Le développement des gaz verts permettra d’atteindre l’objectif français de neutralité carbone avec l’utilisation de 100% de gaz renouvelable à horizon 2050 », a commenté Didier Cousin, directeur territorial Hauts-de-France GRDF.